Cette combinaison n'existe pas.


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Une étude pour:

  • Comprendre l’environnement réglementaire et ses impacts
  • Connaître les pratiques des banques face à la clientèle fragile et surendettée
  • Mieux maîtriser le coût du risque de crédit au sein des établissements bancaires

Le surendettement des ménages s’impose comme une tendance de fond

En 2011, 8.5 millions de personnes vivaient avec moins de 977 EUR par mois. Ce chiffre est en constante augmentation et représentait 14.3 % de la population selon l’Insee. Parmi ces personnes considérées comme fragiles financièrement, plus de 800 000 ménages en 2014, ont fait l’objet d’un dépôt de dossier auprès d’une commission de surendettement de la Banque de France. La loi bancaire du 19 décembre 2012, vient protéger davantage les clients bancaires avec une trentaine de mesures sur les 100 énoncées par la loi. Au-delà des amendes auxquelles font face les établissements en cas de non-respect des mesures, l’impact financier de gérer une clientèle surendettée n’est pas neutre pour les banques. Celles-ci se retrouvent dans l’impossibilité de prélever intérêts et pénalités sur les sommes dues par le client concerné, durant cette phase dite de « recevabilité » d’un dossier de surendettement. La clientèle surendettée est une source de coûts pour les banques, parfois difficilement quantifiable.

Le nombre croissant de ménages surendettés est un facteur de risque mal maitrisé par les établissements bancaires

Hormis les conséquences économiques de ces chiffres, l’impact financier pour les banques s’alourdit. Globalement le coût du risque se situe aujourd'hui autour de 4 % de l'encours sur le marché des particuliers en moyenne. Toutes les lignes de métier de la banque sont concernées et particulièrement celle de détail, du fait de la dégradation de la conjoncture. Les exigences réglementaires en fonds propres induites par Bâle III impliquent un pilotage rigoureux du coût du risque. Les risques de crédit constituent notamment la principale source d’exigence en fonds propres dans le bilan global d'une banque et surtout pour la ligne métier retail. Quels sont les moyens dont disposent les banques pour anticiper et prévenir leurs clients fragiles de basculer dans le surendettement ? Quels modèles économiques peuvent être mis en place pour répondre à cette catégorie de clientèle afin de limiter l’impact financier pour les banques ?

Etude réalisée par Hamid Gourrada

Consultant expert en méthode de détection et de gestion de la clientèle en fragilité financière (segmentation, "filière métier", "banque Low Cost"). Il conduit depuis plus de 25 ans dans le monde du conseil en stratégie & management des opérations, des missions de transformation pour les grandes banques de détail et les établissements de financements spécialisés (Risks & Regulatory, RAROC, etc.).




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Clientèle fragile et surendettée : contexte économique et réglementaire

  • La crise financière marque l’avènement d’un cadre réglementaire auprès des banques
  • Comment définir la notion de clientèle fragile ?
  • Les indicateurs clés de la pauvreté en France
  • Quelles politiques de prévention du surendettement ?
  • Le panorama réglementaire
  • Le rôle central de la Banque de France et de l’ACPR

Les enjeux pour les banques de la gestion de la clientèle fragile et surendettée

  • Les impacts auprès des banques et établissements financiers
  • Quel modèle économique privilégier

Les actions mises en œuvre par les banques…

  • Pour gérer leur clientèle fragile
  • Focus sur 5 grandes banques françaises
    • Pour gérer les clients surendettés
    • Quels sont les résultats de ces actions ?

Quelles solutions peuvent être apportées ?

  • Industrialiser le fonctionnement d’une nouvelle filière métier orientée clientèle fragile (Banque low cost)
  • Vers l’élargissement des missions « sociétales » des banques,
  • Les défis futurs des banques




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