Un marché en pleine phase de décollage
- de la progression des taux de fécondité dans les principaux pays développés, conjuguée à une arrivée plus tardive du premier enfant dans des familles disposant d’un revenu plus élevé ;
- de l’importance du nombre de naissances dans les nouveaux marchés du luxe, couplée à l’accroissement du niveau de vie et au développement rapide des classes moyennes ;
- de facteurs sociologiques et psychologiques puissants (évolution de la place de l’enfant). Les arrivées de nouveaux entrants se multiplient. Pour la seule période 2010-2011, une dizaine de maisons ont annoncé le lancement de collections de mode enfantine, parmi lesquelles Gucci et Fendi.
La licence reste le modèle dominant dans la mode enfantine de luxe
- Reprise en direct de l’activité, à l’instar d’Armani, Sonia Rykiel, Dior (rachat de son licencié en 2006) et Ralph Lauren (rachat de la licence pour l’Amérique en 2004) ;
- Intégration de la mode enfantine. Burberry recourt à la licence (CWF) mais intègre également une partie des activités childrenswear dont le développement constitue une priorité (rapatriement de l’activité au siège londonien, renforcement des équipes, …). Gucci, qui a lancé en 2010 sa première collection de mode enfantine, gère en direct l’activité ;
- Développement d’une distribution à l’enseigne dédiée (Dior, Armani, Burberry, Gucci, …). Des maisons qui avaient développé la mode enfantine en direct sont néanmoins récemment passés à la licence (Hugo Boss, Marni, Cacharel), ce qui incite à la prudence sur la suprématie d’un modèle sur l’autre.
Le marché se structurera autour de marques à forte notoriété
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Synthèse et perspectives
- Deux scénarios de croissance du marché sont établis selon l’évolution de la conjoncture économique mondiale et leur probabilité d’occurrence
- Toutes les maisons ne s’imposeront pas sur le marché de la mode enfantine de luxe
Les contours du marché
- Quatre segments d’âge spécifiques
- Des prix 7 fois supérieurs en moyenne à l’entrée de gamme
La clientèle et les déterminants de la demande
- Trois cibles différentes : l’enfant usager et prescripteur, les parents acheteurs principaux et les membres de l’entourage, acheteurs occasionnels
- Des facteurs démographiques favorables
- Des facteurs sociologiques porteurs : de l’enfant-roi à la « vitrine sociale »
- Des facteurs psychologiques nombreux et puissants
Les chiffres clés du marché
- Le modèle économique de la mode enfantine de luxe : les coefficients multiplicateurs du secteur
- Le cas de la licence : taux de royalties et dépenses de communication
- Poids économique et dynamique du marché : la mode enfantine de luxe reste un marché de niche mais affiche une croissance forte
Les forces en présence
- Une très nette accélération des nouveaux entrants sur le marché au cours des dernières années
- Trois types d’intervenants : les pure players, les maisons de luxe diversifiées et les spécialistes de la licence
- Etudes de cas : Bonpoint, Baby Dior/Les Ateliers Modèles et CWF
- Une contribution de la mode enfantine à la formation du chiffre d’affaires consolidé très variable selon les maisons
Les stratégies de développement
- Les stratégies d’offre
- Analyse par segment d’âge : une forte concurrence sur le segment 2-12 ans
- Alors que, pour certaines maisons, la mode enfantine est une offre d’appoint, d’autres proposent une offre structurée, large et profonde
- Les stratégies de prix : de fortes disparités entre les marques
- La dispersion des prix par ligne de produits est très variable selon les marques
- Certaines maisons se situent très nettement en haut de la pyramide des prix
- D’autres optent pour des stratégies de prix agressives les positionnant en compétiteurs du haut de gamme
- Les stratégies de production : la licence reste le modèle dominant
- Seules quelques maisons gèrent en direct la production (intégration ou sous-traitance)
- Les stratégies de distribution : le réseau multimarques demeure le principal canal de diffusion
- Contrairement aux autres segments du luxe, la distribution à l’enseigne est limitée pour la mode enfantine
- Le e-commerce se développe sous l’effet des sites multimarques spécialisés mais également des sites à l’enseigne qui s’ouvrent de plus en plus à la mode enfantine
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Liste des principaux acteurs étudiés dans l’étude Mode enfantine de luxe
- Agnès b.
- Anne Valérie Hash
- Armani
- Baby Dior/Les Ateliers Modèles
- Bonpoint
- Burberry
- CWF
- Cacharel
- Chloé
- DKNY
- Dolce & Gabbana
- Fendi
- Gucci
- Hackett
- Hugo Boss
- Isabel Marant
- Jean-Paul Gaultier
- John Galliano
- Kenzo
- Lanvin
- Marc Jacobs
- Mariella Burani
- Marithé + François Girbaud
- Marni
- Missoni
- Paul & Joe
- Paul Smith
- Philip Lim
- Ralph Lauren
- Roberto Cavalli
- Sonia Rykiel
- Stella McCarteny
- Versace
- Zadig & Voltaire
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