Cette combinaison n'existe pas.


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Une étude pour:

  • Connaître les performances financières du Top 200 des coopératives agricoles françaises en 2014 et les modèles de développement
  • Décrypter les stratégies à l’international des coopératives agricoles
  • Identifier les opportunités à l’international en fonction de la taille des coopératives, des filières alimentaires et des zones géographiques

LES COOPERATIVES AGRICOLES FRANCAISES A LA CONQUETE DU MONDE

Relever le défi alimentaire mondial

Face à un environnement en pleine évolution (marché intérieur mature, croissance de la demande dans les pays émergents, volatilité accrue des prix des matières premières…), de nombreuses coopératives agricoles françaises cherchent de nouveaux relais de croissance. Face au défi alimentaire mondial de 2050 de nourrir plus de 9 milliards d’individus en quantité, en qualité et au meilleur coût environnemental possible, les coopératives agricoles françaises doivent se positionner. L’internationalisation représente un relais de croissance prioritaire et beaucoup de coopératives agricoles de toutes tailles pratiquent d’ores et déjà l’export. L’export peut même représenter une marché clé pour certaines avec plus de 50% du chiffre d’affaires (La Prospérité Fermière, Blue Whale, Terre de Lin…). Toutefois, on ne dénombre qu’une dizaine de groupes ayant des implantations industrielles conséquentes à l’international.

Des disparités selon les filières

La coopération agricole française dispose d’entreprises au sein des oligopoles mondiaux ou européens dans les semences (Limagrain, Euralis, Maïsadour), le lait (Sodiaal), les céréales (sur le malt avec Vivescia et Axéréal), le sucre (Tereos), le foie gras (Euralis, Maïsadour) et les légumes (Agrial, d’Aucy). Les filières en retrait dans l’internationalisation sont le vin et la viande (bovine, porcine, volaille). Seules quelques petites coopératives françaises sont implantées à l’étranger : à titre d’exemple, Scaap Kiwi est implanté au Chili pour résister à son concurrent néozélandais (saisonnalité différente sur les deux hémisphères), la coopérative de Cerno est implantée en Moldavie pour le cassage des noix afin de réduire les coûts …

La réussite à l’international, conditionnée à un accès au financement et pouvant s’appuyer sur des partenariats

S’il existe de nombreuses opportunités dans les pays tiers, l’enjeu pour l’agriculture française et les coopératives agricoles est double. Il s’agira de maintenir et de développer l’exportation pour conserver l’activité sur les territoires agricoles mais aussi de trouver les moyens financiers pour développer l’implantation industrielle et être en capacité d’atteindre une position de leader sur les marchés mondiaux. Leur autofinancement très souvent insuffisant implique de recourir à des montages financiers nouveaux pour les coopératives (structures holding) et de séduire les investisseurs avec des projets ambitieux.

Pour aller sur les marchés mondiaux, les coopératives mettent parfois en place des partenariats industriels avec des entreprises étrangères, que ce soit en France ou à l’étranger : Sodiaal avec le chinois Synutra, Terrena avec l’irlandais Dawn Meats, Cristal Union avec le groupe American Sugar Refining, Agrial avec le danois DLG,… Côté coopératives, ces partenariats servent à optimiser les coûts de revient et à sécuriser les débouchés. Côté partenaires étrangers, ils servent à sécuriser leur  approvisionnement.

«  Nous avons de fortes ambitions à l’international, et ce pour plusieurs raisons. On sent que le marché français est bloqué, on peut avoir des volumes mais on n’a pas suffisamment de valeur. Comme on est sur des productions de grande qualité, il faut que l’on aille sur des marchés extérieurs. Sur le foie gras, on va sur le Japon. Avec le jambon de Bayonne on a une ouverture du marché chinois et du marché américain. Sur les semences, nous sommes surtout présents en Europe mais on regarde aussi d’autres continents pour pouvoir s’y positionner. Demain il faudrait que l’on arrive à faire 30% de notre chiffre d’affaires à l’international tous secteurs confondus. Nous nous sommes structurés de manière forte en interne, nous essayons de mettre en place une structure groupe que l’on développe et nous restons ouverts à des partenariats coopératifs ou privés pour aller prospecter certains marchés à l’international. Sur les produits haut de gamme, nous sommes convaincus qu’il faut les exporter depuis la France. Sur les produits qui sont lourds en logistique il faut que l’on amène nos savoirs-faire et que l’on produise localement. » Michel Prugue, Président Maïsadour, entretien Les Echos Etudes

EXCLUSIVITES LES ECHOS ETUDES

Le Point de vue des dirigeants des coopératives : une enquête terrain conduite à partir d’une dizaine d’entretiens approfondis auprès de dirigeants de coopératives de différente taille

L’Observatoire du TOP 200 : l’analyse des performances économiques et financières des 200 premières coopératives agricoles en France en 2014

Les Performances comparées des principales coopératives agricoles françaises avec celles des groupes privés, des coopératives agricoles européennes, des coopératives françaises (tous secteurs)





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NOTRE CONSULTANT
Cécile DESCLOS

FICHE TECHNIQUE

TARIF
A partir de 2500 € H.T


Rédigée en français
Octobre 2015
200 pages


 

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SYNTHESE ET PERSPECTIVES

LA DYNAMIQUE DES DIFFERENTES FILIERES AU NIVEAU MONDIAL

  • L’industrie des viandes (bœuf, volaille, porc)
  • L’industrie du lait
  • La filière céréales (alimentation animale, meunerie, malterie)
  • La filière sucre
  • La filière fruits & légumes
  • La filière viticole

Pour chaque filière : données de cadrage au niveau mondial (production, consommation, prix, flux …), principaux acteurs dans le monde et en France (Top 10)

LES PERFORMANCES ECONOMIQUES ET FINANCIERES DES COOPERATIVES AGRICOLES

  • Les performances financières du top 200 des coopératives agricoles en France : évolution du CA, valeur ajoutée, taux de marge opérationnelle, taux de marge nette, taux d’endettement net
  • Les modèles de développement au sein du top 200 : structure industrielle en 2014, configuration du secteur agro-coopératif en 2014

LES COOPERATIVES AGRICOLES FACE AU DEFI DE L’INTERNATIONAL

  • Les motivations stratégiques des coopératives agricoles

 

  • Les stratégies d’internationalisation possibles pour les coopératives
    • L’export, la solution privilégiée par de nombreuses coopératives : exemple de Blue Whale et Paysan Breton
    • L’implantation uniquement commerciale
    • La franchise : exemple, le développement de Sodiaal
    • L’implantation industrielle : la stratégie de Vivescia dans le malt

 

  • Les principaux défis de l’internationalisation
    • L’internationalisation doit consolider l’ancrage territorial des coopératives
    • Atteindre la taille critique face aux marchés pertinents
    • Trouver de nouvelles sources de financement en adaptant les structures et en nouant des partenariats
    • Bien connaître les réseaux de distribution à l’étranger afin de bien imposer sa marque
    • Les barrières douanières et sanitaires restent encore un frein dans de nombreuses régions du monde
    • Le risque pays et l’exemple de l’embargo russe
    • L’impact de l’internationalisation sur la gouvernance

 

  • L’internationalisation des coopératives du Top 200
  • Comparaison avec les principales coopératives européennes
  • Les marchés clés de demain : focus par zone géographique et par filière




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